Je t'ai menti hier, mon petit bête.
Tu me manques. Oui, tu me manques, peu importe si je m'habitue à ne pas y penser :) J'étais habituée à te voir jour après jour, te parler chaque nuit, te raconter chacune de mes matins. Des années ont passé ce Décembre car, malgré tout le bonheur à Maracaibo, il m'était bizarrement nécéssaire de te voir. J'étais habituée à décider quoi manger avec toi, à partager mes repas avec toi, à dormir à ton côté juste aprés le midi. Jétais habituée à que tu ne me laissais pas m'endormir. À critiquer ta musique, à parler des futurs qu'on veut proches.
Je t'avais sur les doigts. Tu croyais toujours que tu ne m'avais pas. Faux. Mais ne sois pas trompé, chéri. Tu ne me manques pas.
Je m'habitue, tu sais, aux jours où je n'attends plus à te voir le lendemain. Deux jours, trois jours, six jours, c'est long... mais je sais que t'es là.
C'est ce que j'aime le plus. :)
La seule chose, et c'est ça l'important, c'est que lui, il a bien profité de tes courtes absences.
Je ne suis jamais seule à l'unnif depuis novembre, et je ne vais plus seule chez moi, en fait j'attends follement ces 3 soirs par semaine pour le moment de partir à la maison :) Il est un espèce de gâteau au maracudja.
Je n'irais pas si loin et dire que je l'aime - c'est pas vrai- ni que cette amitié super spéciale entre toi et moi est en train de se dissoudre. Ce que je viens de dire mon bête, c'est que mon attention est, certes, ailleurs.
Désolée?
Genial
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