Mostrando entradas con la etiqueta insomnio. Mostrar todas las entradas
Mostrando entradas con la etiqueta insomnio. Mostrar todas las entradas

14 de marzo de 2012

Esperando a la costumbre



Con un poco de fastidio ya, para ser honesta.
Pasan los días y no llega.


 
La costumbre me esquiva, la costumbre de entonces. Y esta que la reemplaza no me gusta. No la quiero, no nos entendemos bien. Envíenme una nueva. ¿Adonde pongo la queja?

6 de marzo de 2012

Connaître quelqu'un qu'on ne connaît pas, ça arrive!

Des drôles de rencontres. Des certitudes qui se sont installées dans ma tête dans un instant. Toujours avec des personnes que je ne connaissais pas, et des choses que je n'aurais jamais pu prévoir. Je ne crois pas aux théories des âmes soeurs, donc il ne s'agit pas de ça, dans aucune des quatre histoires qui suivent. Je les écris ici parce que je ne veux pas les oublier, et parce que, oui... il y a peut être des âmes et j'ai eu (j'ai?, j'aurai?) peut être la chance de l'apprendre. 

La première fois que ça m'est arrivé, j'étais près d'Eupen, en Belgique, et je ne savais pas encore parler français. Je rentrais dans la salle de réunions. Moi et les autres latinas, on parlait de la viande -c'est pas tellement bonne chez les belges- quand, soudain, une voix masculine a dit quelque chose sur la viande aussi (je ne m'en souviens plus). On s'est retournées pour voir à qui c'était, cette voix... Et c'est là que je l'ai vu, et qu'il m'est arrivé de savoir, avec un regard, que quelqu'un d'inconnu prendrait une énorme importance pour moi. Je me souviens toujours de cette impression. Plus tard ce jour là, on a parlé et c'est tout: lui, Sergio, est devenu mon meilleur ami en Belgique, et il reste une des personnes que j'adore le plus au monde, toujours un très bon ami, même si ça fait des années qu'on ne se voit pas. 

La deuxième fois, là, j'ai été vraiment choquée. J'étais assise à coté d'un garçon que je n'avais jamais vu. J'étais en train d'écrire quelque chose et il m'a interrompu pour me dire: "Je peux te poser une question?" J'ai levé ma tête, mais il ne me regardait pas. "Est-ce que j'ai l'air d'un salaud?" Ben, c'était déjà pas normale cette question venant d'un mec inconnu, mais j'ai pas eu le temps de penser 'pathétique, ce mec', parce que maintenant il me regardait et j'ai eu le souffle coupé. Oui, c'est un gros cliché, je sais, mais c'est ce qui m'est arrivé. Il y avait quelque chose d'impressionante dans les yeux de Chris. Je l'ai voulu immédiatement. Il n'est pas beau, il n'a pas de beaux yeux... c'était pas son physique. Mais j'ai vu quelque chose chez lui, et je la voulais.
J'ai réussi à répondre: "non". On ne s'est plus parlé ce jour là, mais on est devenu des bons amis après quelques mois. On s'est separés après presque 2 ans d'amitié et je n'ai eu cette 'chose' que pendant des instants, quand il n'était pas en train de se lamenter sur n'importe quoi. Oui, c'était un amitié assez problématique, mais moi, je pense toujours que j'ai eu de la chance d'avoir connu quelque chose de si belle. 

La troisième fois, c'était avec un garçon que je connaissais à peine. Il était avec un ami à moi, et pour me saluer il a touché mon menton (je ne sais pas pourquoi) et, encore une fois, j'ai eu le souffle coupé. Il avait une copine, ce garçon, mais j'ai su qu'on risquait s'aimer de trop (je dis de trop, puisqu'il avait sa copine) et si on devenait copains, ça serait vraiment bien. J'ai su -aussi- qu'il y avait de choses chez lui que je n'aimerais pas, et qu'elles n'étaient pas du n'importe quoi. Mais quand, après quelques semaines, il m'a donné une lettre en me disant tout ce qu'il ressentait pour moi (il avait déjà quitté sa copine), j'ai décidé de ne pas penser à tout ce que j'avais "vu" chez lui. Et voilà, vous connaissez l'histoire après ça.
Maintenant, c'est fini, à cause de ces autres "choses". Elles auraient pu changer, mais non. 
Mais bon, ça a valu toutes les peines. 

Et alors... La quatrième fois... j'étais tellement fatiguée et tellement triste que je n'ai même pas eu envie de 'déguster' le moment. Alors franchement, je ne saurais pas vous dire qu'est-ce que j'ai vu chez cette nouvelle personne. Mais c'est quand même fascinant. 

Je ne sais pas de quoi il s'agit, tout ça. Ce que je sais, c'est que je suis contente de pouvoir vivre ces expériences - ça a été génial à chaque fois, et que ça me donne un peu plus de foi, et du courage. C'est super bien, savoir qu'il y a des personnes aussi belles un peu partout dans le monde. C'est le KnockOut contre le pessimisme.

1 de enero de 2012

Whatever happens


I don't ever want to forget you.
I'd never loved anyone the way i love you.
I miss you.

And yet, i need to remember i have to get better. I need to.
I need to.

It's 2:56 a.m. on february 1st. I can't sleep and after posting this i realized i needed something to go between I LOVE U in november and i don't have you in january. Cuz i still can't believe the way things turned out :(

18 de julio de 2011

Sobre una tabla olvidada


A veces la mente y el entorno nos juegan trucos.
A veces, hacen que terminemos enfocándonos sólo en las grietas, como ésta en la mesa que sostuvo minutos de mis pensamientos hoy.


Pensaba durante un rato en las ambiciones, en qué significan, en qué implican y cuánto las debemos proteger. Pensé, vagamente, que quiero muchas cosas, y otros también quieren las suyas. Pensé en cuánto puede dibujarse uno en la cabeza una ambición... porque, por mucho que lo busquemos, no llegará ese obtejo o ser exacto que esperamos, lo que se nos enseña a hacer viviendo es doblar, cortar, amoldar, educar o encender eso que llega a nuestras manos, y luego ver qué hacer con el resultado.

Sin irme a la infinidad de subjetividades que implica considerar algo perfecto, creo firmemente que todo lo concreto en nuestro mundo (salvo quizás el mismo mundo) tiene imperfecciones. Hasta nuestros sueños tienen grietas.
Habría que pecar por ilusos para no considerar que no podemos concebir en detalle algo que no tenga fallas, que no tenga detallitos, como decimos los venezolanos.

Por eso mismo, las grietas no son motivo de frenarse.
Las evitas, las arreglas, te las llevas por delante o las escondes. Pero no te rindes. Ellas nunca -salvo en el arte- son el elemento principal. Ellas no son parte del "bigger picture".

Fue más de un genio el que dijo: "todo es cuestión de punto de vista."


Otro enfoque.
A veces, las cosas esas que llegan, flaws and all, son lo suficientemente buenas para que quien se doble, mueva, infle o incinere seas tú.Who knows? You might get yourself into one of these win-win situations.

Hoy, sobre esa mesa olvidada, me preparé para pensar en contextos, en entornos, en causas, en formas.
En las dificultades. En que hay soluciones, y quizá el truco sea el mismo que en negocios e ingeniería: abrir bien los ojos, observar alrededor, integrarlo todo en un respiro, y aceptar que -después de todo- puede que sólo haga falta otro punto de vista.



Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...